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Sur la photo, Candace Parker et Sandrine Gruda

 

Nous sommes désormais à moins d’un mois du début de la saison EuroLeague Women. En attendant la reprise, NewsBasket-Beafrika.com fera un point sur chacune des prétendantes au titre. Respectons l’ordre hiérarchique et intéressons nous aujourd’hui à UMMC Eketerinburg.

 

A l'approche de la nouvelle saison d'EuroLeague Women, certaines choses ne changent jamais, et l'un des sérieux candidats au titre est l'UMMC Ekaterinburg au vue de leur effectif composé par des joueuses de grande classe mondiale comme Candace Parker, Diana Taurasi, Sue Bird, Maria Stepanova, Deanna Nolan et Sandrine Gruda.

 

Toutefois, Ekaterinburg devra se batailler malgré son statut d'archi favori pour finir en tête du podium fin Mars prochain. Le club russe a tout les ingrédients nécessaires d'aller vraisemblablement au bout de son objectif. C'est pour la première fois dans l'histoire du club d'entamer la saison d'Euroleague comme étant le favori absolu pour le prestigieux titre. Avec cette armada, c'est la meilleure opportunité pour Ekaterinburg de mettre enfin la main sur le trophée tant convoité. N'importe qui peut savoir que c'est une équipe de rêve avec un duo tant attendu composé de deux meneuses planétaires Diana Taurasi et la capitaine du Team USA Sue Bird. Une chose vraiment belle et il ya peu d'intérêt à énoncer une évidence de l'influence respective de chaque joueuse et de leurs potentiels.

 

La pivot Maria Stepanova est le cœur et l'âme de UMMC Ekaterinburg, et se prépare pour sa 15e saison consécutive d'EuroLeague Women, son cinquième au club. Quand on sait que le club russe possède aussi au sein de son effectif l'ancienne championne d'Euroleague Silvia Dominguez  sans oublié Deanna Nolan et Anete Jekabsone, cela offre une puissance de feu supplémentaire dans les tâches de meneur. L'une des forces d'Ekaterinburg est la profondeur de son banc avec des ailières russes très expérimentées comme Anna Petrakova et Olga Arteshina qui pourront faire la différence.

 

Dans tous les secteurs de jeu, Ekaterinburg semble imprenable cette saison donc la mission s'annonce très compliquée pour les autres équipes mais tout se joueura sur les parquets car les clubs turcs (Fenerbahçe Ulker, Galatasaray Istnbul) avec leurs supers stars américaines restent aussi des sérieux candidats au titre. Bourges Basket, avec un effectif réduit sera l'outsider parfait de cette saison car le club berruyer reste un habitué de l'Euroleague, et les joueuses du coach Valérie Garnier vendront sans doute chèrement leur peau dans l'objectif d'atteindre le Final Eight.

 

Anna Petrakova a été récemment en équipe nationale russe après une saison étincelante avec le Dynamo Koursk , pourrait être l'une des clés pour la réussite d'Ekaterinburg.

 

«C'est formidable de jouer en Euroligue et je crois que je suis prêt pour cela", a déclarée Petrakova.

 

«J'espère vraiment passer du statut de champion d'Europe et en celui du champion d'EuroLeague femme, et je crois que nous avons ce qu'il faut avec cette équipe.

 

"Tous les joueuses de cette équipe doivent se battre pour le temps de jeu, mais je crois que sur notre liste, on se complète mutuellement et nous allons tourner en fonction de l'adversaire.

 

"Donc, l'objectif n'est pas d'obtenir plus de temps de jeu, mais il s'agit d'intensifier et d'apporter votre meilleur dans le jeu lorsque l'équipe a besoin de vous."

 

Chargé de moulage de cette liste incroyable d'Ekateriburg, est le duo d'entraîneurs composé du couple Olaf Lange et Sandy Brondello. 

 

Petrakova est impatiente de travailler avec le couple, qui d'après elle sera un bon moyen pour Ekaterinburg.

 

"Je sais qu'ils ont beaucoup d'expériences et qu'ils ont réussi dans la WNBA, et je suis excité à ce sujet puisque j'ai toujours aimé jouer pour les entraîneurs qui utilisent un style américain", a t-elle dit.

 

"Et aussi avec l'entraîneur Sandy qui est une ancienne joueuse, cela signifie qu'elle connaît la mentalité des femmes, ce qui est un énorme bonus.

 

«Je m'attends à ce qu'ils ont une approche personnelle pour chaque joueuse afin de les aider à donner le meilleur d'entre nous."

 

C'est la "dream team". Peut-être la meilleure collection de joueuses jamais vu auparavant dans cette compétition de haut niveau et de renommée.

 

Mais il ne faut pas se fier qu'à ça, c'est une compétition qui n'est pas gagné d'avance et jamais sur le papier. L'Euroleague Women se joue et se gagne sur le parquet et personne, y compris Petrakova, ne peut prédire ce qui arrivera fin Mars.

 

"Je m'attends à rien de moins que de gagner l'Euroligue cette année».

 

 

 

 

 

 

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