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Sans Kyrie Irving, Terry Rozier (triple-double) et les Celtics humilient les Knicks

Publié par NBB sur 1 Février 2018, 07:12am

Catégories : #NBA

Sans Kyrie Irving, Terry Rozier (triple-double) et les Celtics humilient les Knicks

Sans Kyrie Irving mais avec un excellent Terry Rozier, auteur d'un triple-double  (17 points, 11 passes et 10 rebonds) pour sa toute première titularisation, les Celtics ont infligé une correction sévère aux Knicks (103-73).

Pour sa toute première titularisation en carrière, Terry Rozier a fait très fort. Le meneur habituellement remplaçant a profité de l’absence de Kyrie Irving pour claquer son premier triple double en carrière (17 points, 11 rebonds, 10 passes, avec 2 interceptions et 2 contres) et mener les Celtics vers une très large victoire devant les Knicks (103-73). Sans leur leader, les Verts ont fait la différence en seconde période en limitant les Knicks à… 28 petits points inscrits. Ces derniers, hormis le nouveau gros chantier intérieur d’Enes Kanter (17 pts et 17 rbds), ont fait preuve d’une maladresse rédhibitoire (32%).

Rozier se met en rythme puis s’occupe de tout
Il faut croire que Terry Rozier aime la lumière. Car à l’entame de ce match, la plupart des projecteurs sont tournés vers lui. Avec un Kyrie Irving out (quadriceps), Marcus Smart toujours sur la touche et un Shane Larkin incertain, Rozier est le seul meneur chez qui tous les voyants sont au vert. Il ne lui faut pas longtemps pour le confirmer sur le terrain car le joueur de 23 ans fait un départ canon niveau adresse. En se faufilant dans les écrans de ses coéquipiers, il ressort derrière l’arc et sanctionne à trois reprises. Il n’a pas tant besoin de porter le ballon car Al Horford se débrouille très bien avec. L’intérieur est le point de départ de plusieurs contre-attaques et, comme souvent, il fait office de meneur de jeu officieux.

Pour leur répondre, Kristaps Porzingis fait plutôt une belle entame dans ses tirs de loin. Il est bien soutenu avec la belle entrée de Frank Ntilikina qui rentre aussi ses premiers tirs avant d’être plus à la peine. Les deux équipes restent proches au score jusqu’à la pause (50-45), après que Jaylen Brown a sans doute sorti le poster de la nuit sur le pauvre Porzingis. C’est au retour des vestiaires que les choses se compliquent pour les New-yorkais. Malgré un Enes Kanter toujours aussi présent dessous avec ses rebonds offensifs, NYC commence à manquer de rythme et d’adresse en attaque (3 minutes sans marquer). Offensivement, comme défensivement d’ailleurs, Tim Hardaway Jr. ne met pas un pied devant l’autre.

Où sont passés les Knicks ?
En face, Rozier, même s’il score moins, est dans tous les bons coups, à la passe, à l’interception… L’écart se creuse quand Horford bat trop facilement Porzingis sur le drive puis Morris poursuit son match parfait de boosteur offensif (74-60). New-York aurait sacrément besoin d’une étincelle aussi. Hornacek relance Beasley, pas toujours adroit, puis Trey Burke, pas convaincant. Moment de frayeur pour le Garden quand Morris, touché par Beasley en l’air sur un dunk, retombe de façon spectaculaire sur le fessier. Le Celtic doit gagner le vestiaire en boitant.

Sans faire de gros run impressionnant, Boston continue de creuser son écart, possession après possession. Quand Rozier n’est pas sur le terrain, Boston joue… sans meneur mais la boutique tourne toujours correctement. Tatum est une assurance tout risque dans ses un-contre-un à distance et comme la défense des Verts ne laisse rien passer, on atteint les 30 points d’écart.

Lourde défaite des Knicks (23 victoires – 29 défaites) qui lâchent un peu plus de terrain sur les playoffs. Dans cette perspective, ils jouent deux matches importants face aux Bucks dans les prochains jours. Toujours leaders à l’Est, les Celtics (37 v – 15 d) restent à domicile vendredi avec la réception des Hawks.

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