LaMarcus Aldridge: "Notre défense a fait la différence"

Les San Antonio Spurs, LaMarcus Aldridge en tête, ne veulent pas s'emballer après leur large victoire (124-92) contre Oklahoma City, qui promet de réagir.

Gregg Popovich (entraîneur des San Antonio Spurs, vainqueurs d’Oklahoma City) : «Je ne peux pas vraiment tout expliquer car le match vient seulement de se terminer mais je pense que c’était une de ces matches où ils étaient dans un jour sans et nous dans un grand jour. On a connu ça avant, ça peut arriver à tout le monde. Avec LaMarcus, ce qu’il s’est passé ? Le ballon est beaucoup rentré dans le cercle. Je n’essaie pas de faire de l’humour, c’est vraiment ce qui est arrivé !»

Billy Donovan (entraîneur du Oklahoma City Thunder) : «On devra mieux jouer dans tous les domaines collectivement. Tous en tant que groupes, joueurs, entraîneurs, membres du staff, on doit se reprendre pour le match 2. On a commis des fautes à quatre reprises sur des tirs à trois points et ça leur a donné beaucoup de lancers-francs. On n’a pas été bons face à LaMarcus Aldridge, on doit trouver des solutions pour mieux défendre face à lui. Je pense que mes joueurs auront envie de montrer un autre visage lundi. En tant que compétiteurs, ils savent ce qu’ils valent et ils voudront corriger le tir dès demain à l’entraînement.»

LaMarcus Aldridge (San Antonio) : «C’est juste un de ces matches où les tirs rentrent et on essaie de rester concentrer pour que ça continue. Après ce n’est qu’un match et Oklahoma City a beaucoup de talent et va revenir. On essaie de toujours jouer à notre niveau, en commençant par la défense, la prise des rebonds défensifs. Les choses ne vont pas changer à ce niveau. Mon panier acrobatique ? Je ne peux pas vraiment me donner crédit pour ce genre de chose, c’était vraiment une soirée où tout me réussissait. Sans doute que ça ne rentrera pas au prochain match (ce genre de tir). C’est notre défense qui a gagné le match pas d’avoir réussi des tirs difficiles. Notre défense était vraiment impliquée, concentrée et c’est pour ça qu’on s’est imposés.»